Douceur sucrée : ouvrir une confiserie rentable en 2025

confiserie

Un secteur dynamique et en croissance

Le marché mondial de la confiserie (bonbons, chocolats, chewing-gums) est estimé à environ 190 milliards € en 2024, avec une croissance prévue de +3 à +4 %/an jusqu’en 2030.
En France, le marché de la confiserie pèse près de 3,5 milliards €, dont 1,2 milliard € pour les confiseries traditionnelles et artisanales. La demande est tirée par la montée en gamme et la recherche de produits “authentiques”.
Le segment premium et artisanal enregistre une croissance de +6 %/an, soutenu par l’attrait des consommateurs pour les circuits courts.


Pourquoi se lancer en 2025 ?

  • Artisanat & tradition : forte valorisation des confiseries locales et faites main.
  • Montée en gamme : prêts à payer +15–25 % pour des recettes premium.
  • Tourisme : forte attractivité des boutiques de centre-ville et zones touristiques.
  • Cadeaux & événements : pics de consommation (fêtes, mariages, Noël).

La rentabilité en pratique

  • Ticket moyen : 8–15 € (sachet, boîte, assortiment).
  • Marge brute : 65–72 %.
  • Volumes : 80–200 clients/jour selon emplacement.
  • Investissement de départ : 60 000–150 000 € (laboratoire, vitrines, déco, signalétique).

Exemple : 120 clients/jour à 11 € = 1 320 €/jour, soit ~39 600 €/mois (30 jours). Avec 32 % de coût matière, marge brute ~27 000 €.


Étapes clés

  1. Étude locale : flux piétons, zones touristiques, concurrence chocolaterie/confiserie.
  2. Business Plan : investissements, seuil de rentabilité, saisonnalité.
  3. Offre : gamme artisanale, coffrets cadeaux, options sans sucre/bio.
  4. Marketing : réseaux sociaux, vitrines attractives, partenariats avec événements.

Conclusion

Une confiserie artisanale bien placée peut atteindre sa rentabilité en 12–18 mois. Le Business Plan de confiserie vous aide à calibrer vos marges et structurer votre croissance dès 2025.

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