Un secteur dynamique et en croissance
Le marché du vrac (alimentaire & non-alimentaire) en France est estimé à environ 1,2–1,6 milliard € en 2024. Après une phase d’ajustement, la demande repart sur les segments sans emballage, écoresponsables et économiques (graines, céréales, produits d’entretien).
Pourquoi se lancer en 2025 ?
- Zéro déchet & prix au kilo : achat à la juste quantité, réduction des emballages.
- Transparence : origine, labels, ingrédients simples.
- Complémentarité : vrac + frais local + offres “free from”.
- Digital local : click & collect avec contenants consignés, commandes récurrentes.
La rentabilité en pratique
- Ticket moyen : 16–28 € (sec, hygiène/maison, cosmétiques solides).
- Marge brute : 25–35 % (plus sur MDD, cosmétiques & entretien maison).
- Volumes : 140–300 tickets/jour selon zone & horaires.
- Investissement de départ : 60 000–150 000 € (silos, bacs inox, balance connectée, rayonnages, caisse, consignes).
Exemple : 200 tickets/jour à 21 € = 4 200 €/jour, soit ~109 200 €/mois (26 jours). À 30 % de marge, marge brute ~32 800 € pour loyers, équipes et charges.
Étapes clés
- Étude locale : profil écoresponsable du quartier, concurrence bio/vrac.
- Business Plan : rotation produits secs, gestion pertes, consigne & logistique.
- Offre : céréales & légumineuses, fruits secs, entretien maison, cosmétiques solides, local.
- Marketing : community locale, ateliers zéro déchet, abonnements récurrents, Google Maps.
Conclusion
Positionnée sur le prix au kilo, la transparence et le zéro déchet, une épicerie vrac peut atteindre la rentabilité en 12–18 mois. Un Business Plan d’épicerie vrac optimise l’assortiment, la marge et la fidélisation en 2025.
Business Plan recommandé

Business Plan - Épicerie vrac
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